top of page

Arcade Fire et The Cure

  • Photo du rédacteur: Vtunes
    Vtunes
  • 16 déc. 2017
  • 1 min de lecture

Je l'ai déjà dit. Tous les artistes s'influencent ou se copient à un moment ou l'autre, la plupart du temps inconsciemment. C'est ce qui rend la découverte musicale si fascinante. Tiens, l'autre jour j'écoutais distraitement Creature Comfort sur le dernier album d'Arcade Fire et un subtil carillon à la fin de la chanson m'a rappelé le début de la chanson Plainsong sur l'album Disintegration (The Cure, 1989).


Je me suis alors remis à écouter Disintegration en boucle, ce qui fait que j'alterne ces jours-ci entre deux albums fort différents dont le lien ténu tient à un carillon discret, présent dans un cas au début de la chanson et dans l'autre cas, à la fin. Si j'avais le privilège d'interroger les membres du groupe Arcade Fire dans le cadre d'une entrevue, je ne ferais aucunement référence aux sonorités de Everything Now, qui peuvent rappeler ABBA à certains moments.


Mais je ne manquerais pas de leur poser la question qu'ils n'attendent peut-être pas.


"Le carillon à la fin de Creature Comfort, ça vient de vous ou de votre équipe de réalisateurs?"


Puis je leur demanderais s'ils prévoient un retour à Montréal prochainement, car leur dernier album est "taillé sur mesure" pour les foules. Il doit être consommé en groupe par des groupies, et de préférence maintenant. Je suis prêt à chanter et à danser. Je suis prêt pour le grand rassemblement, la grande fête.


En attendant, j'écoute l'album en boucle, en souriant à chaque fois que le petit carillon se fait entendre.




Kommentare


© 2023 by The Artifact. Proudly created with Wix.com

bottom of page