The National

The National est une des seules choses que je connais provenant de Cincinnati, avec l'émission télévisée WKRP in Cincinnati (1978-1982), les Reds et le tournoi de tennis de l'ATP et de la WTA.

J'ai découvert le groupe bien après ses débuts grâce à la chanson Demons de l'album Trouble will find me (2013). J'étais loin de me douter que leur répertoire était déjà si bien garni.

C'est souvent le piano qui m'interpelle dans The National, avec bien sûr la voix de Matt Berninger.

Je vais donc vous proposer cinq chansons dans lesquelles le piano joue un rôle important et qui devraient être suffisantes pour déterminer si vous aimez ou non le groupe.

N'oubliez pas. Je suis un défricheur musical mais le choix final vous revient toujours. Pour les adeptes du groupe, vous pouvez passer au texte suivant!

C'est vrai j'oubliais. The National n'est pas toujours upbeat. À considérer avant ou pendant l'écoute!

En ordre chronologique:

• Fake Empire (2007)

• England (2010)

• Pink Rabbits (2013)

• I Am Easy to Find (2019)

• The Alcott (2023) - avec Taylor Swift

Je suis particulièrement sensible à la chanson I Am Easy to Find, qui est aussi le titre de l'album, ainsi qu'un film touchant avec l'actrice oscarisée Alicia Vikander. C'est certain que ça laisserait Agent Orange indifférent.

Les voix féminines sont nombreuses sur I Am Easy to Find et c'est ce qui rend l'album si riche. I Am Easy to Find est la berceuse la plus réconfortante depuis la boîte musicale anglaise de mon enfance. J'y retourne pour de l'apaisement.

Car je crois qu'il y a une circonstance pour chaque chanson. Le monde a encore basculé au tragique aujourd'hui. Qui pourrait faire quoi que ce soit de mal après avoir écouté cette chanson?

Selon les paroles, elle est vraiment triste. Mais tout ce que j'y entends, c'est de la beauté et de l'espoir. Ajoutez à cela What the World Needs Now de Cat Power et on devrait être sur la bonne voie.